Révélations extraordinaires sur le panthéon ikéen, par Cyril


Les fouilles d'Atlantis dans la plaine atlantique ligérienne ont permis d'exhumer une carte à puce de caisse-enregistreuse, un accessoire largement répandu et bien connu des chercheurs spécialiste de la civilisation pré-ikéenne correspondant à la la fin de la monnaie métallique datant de la 1ère ère des gaz de schiste sur le site de ce qu'il faut bien appeler désormais le "temple ikéen".
Le département de cryptographie appliquée en collaboration avec les experts de sigillographie-numismatique à octets a pu affirmer, après exploitation des données conservées sur la carte à puce retrouvée à Atlantis par migration sur des périphériques virtuellement reconstitués à l'identique, que quotidiennement de nombreux ikéens s'adonnait à des offrandes auprès de divinités probablement scandinaves. Les noms qui reviennent le plus souvent sur la comptabilité du clergé ikéen sont Älgört, Volmar, Lillhödjen, Jansjö, Stugvik ou encore Drömar. En hommage à ces divinités aurait été élevée un temple ikéen de grandes dimensions sans doute de couleur bleue comme le confirmerait la présence d'édifices comparable découvert à travers le monde. Hypothèse qui révolutionne les connaissances accumulées sur le sujet et qui voit ainsi le panthéon ikéen considérablement augmenté par des centaines de nouveaux demi-dieux. Cette pléiade de divinités aurait fait l'objet de  dons en espèces considérables par les pèlerins issus d'une aire d'influence estimée à plusieurs dizaines de kilomètres autour du temple dans une unité monétaire s'écrivant "€". La question qui se pose aujourd'hui est de savoir à quoi à servi le trésor du clergé ikéen.