Né en 1935, Vasco de Maga, grandit dans une famille de forgerons. Très vite, il s’essaie lui-même à travailler le métal. Il s’éloigne rapidement de l’aspect utile et quotidien du fer forgé pour le réinventer. Dans « un soleil en cage », il intègre la brutalité, la froideur du métal pour éclairer et réchauffer les espaces. Il y insère des piécettes d’or pour représenter le soleil. Sa clarté s’oppose ici à la noirceur du fer. Ce soleil d’or brise l’allure précaire du fer.
L’artiste nous offre un œuvre tout en contradiction.
Texte de Maël WEBER, extrait du bimensuel Soul’art, exposition à la Frat’.